A. Imagination

Quelques suggestions:

- Pour retenir éventuellement une pierre. (revoir cette phrase, peut-être enlever l'adverbe? Pour retenir la pierre?)

- Pourtant l’ensemble tient en équilibre: Perso je ne mettrais pas l'adverbe (décidément, j'ai un problème avec les adverbes )


- Sans être en déséquilibre: je comprends que tu ne veuilles pas répéter le mot "équilibre" Dans ce cas, pourquoi ne pas évoquer autre chose, comme la force par exemple? ( Un coeur vibre, force tranquille) Juste une suggestion mais il y en a d'autres

J'ai appris un mot:  Chibres, mais c'est quoi exactement?

A part ces quelques réserves, tu as super bien travaillé (malgré ton manque de temps légendaire!)

J'ignore aussi le sens du mot " chibres", vite, éclaire-nous !
Comme Admin, je ne suis pas fan des adverbes qui alourdissent souvent le texte et comme ton poème  insiste sur la légèreté de l'équilibre, il vaut mieux éviter de "casser" cette impression très agréable.

Chibre: unité de mesure allant de l’extrémité du pouce à l’extrémité du majeur d’environ cinq pouces, donc dans ce sens que j’ai utilisé ce mot (Wikipedia).
Autre définition de ce mot: jeu de cartes typique suisse.

J’ai suivi vos conseils, il est vrai que d’enlever les adverbes est plus léger.
Par contre pour déséquilibre, j’hésite:
mon but était de mettre «-ibre» à la fin de la première ligne de chaque strophe et de finir avec «-ibre» aux deux dernières lignes pour conclure.
Au départ je voulais même commencer par le mot équilibre et volontairement finir avec déséquilibre mais pas réussi.

Admin a écrit:A part ces quelques réserves, tu as super bien travaillé (malgré ton manque de temps légendaire!)

J'avoue que ce poème m'a fait beaucoup de bien de l'écrire, je dirai pourquoi dans les cent mots.

Merci pour vos commentaires.

Je ne sais pas dire pourquoi, mais moi aussi j'ai envie d'enlever des mots à ton poème, comme pour le rendre plus haïku car il s'y prête.

Sur un tapis d'eau douce
un coeur vibre

l'essence de ton texte est dans ces deux vers...

Tout à fait d'accord avec Bruyère !

j'aime bien les images que ton poème m'évoque.

Il se dégage une impression de sérénité dans ton texte, une écriture feutrée.

Je me demande le pourquoi de ton choix de parler du Tibre et de Fifi Brindacier. Tu peux m'éclairer?

J'ai cherché ta consigne des 100 mots mais je n'ai rien vu. Tu l'as écrite? Tu nous dis que cela expliquerait en partie ton poème

Oui Sherkane, j'ai eu de la peine de l'écrire, et je l'ai posté dans une autre rubrique.
Merci pour vos commentaires.

Myrte a écrit:Je ne sais pas dire pourquoi, mais moi aussi j'ai envie d'enlever des mots à ton poème, comme pour le rendre plus haïku car il s'y prête.

Je trouve très intéressant cette remarque, ça me tente d'essayer, on verra si j'y arrive, mais pas tout de suite.