A. Ainsi va la vie...

C'est magnifique nerwen, magnifique et très émouvant

Belle ode à la vie qui passe si vite

J'y vois plus un déchirement qu'une ode à la vie. L'enchainement de ton poème dit qu'il n'est pas naturel de poser sur le cercueil la dernière rose de l'été après avoir posé un regard d''amour et de tendresse d'abord sur le berceau, puis sur l'adolescence et enfin sur la vie d'homme. Ce devrait être ceux que l'on a vu naitre qui nous portent en terre, et non l'inverse, ce qui met en évidence une grande souffrance.

Perdre un enfant est la pire des choses que peut vivre un parent.
Ce n'est pas sensé être dans l'ordre des choses.

Ton dernier vers, est... d'une beauté
et empoigne le cœur !

Tes mots serrent la gorge, tu décris la plus grande terreur des parents

Nerwen, alors que ton texte est très bien écrit, personnellement je suis un peu gêné par sa fin. Le ton est trop doux pour une fin aussi effroyable! Comme si on passait directement à la résignation sans l'étape de la colère et de l'injustice.

Un texte émouvant car il n'est effectivement pas dans l'ordre des choses de perdre un enfant. Ton titre est à ce titre d'un réalisme terrifiant. Non ! ce n'est pas ainsi que la vie doit aller...

Merci à tous pour vos commentaires

Une petite précision car ce n'est pas la mort d'un enfant que j'évoque ici, mais celle d'un frère plus jeune, décédé un certain mois de février, il y a quelques années ...

Un chemin de vie trop court pour ce frère décédé. Tu en parles avec délicatesse et pudeur, sans révolte aucune.
C'est entre autres choses, ce que j'admire chez toi, ta force de caractère en toute discrétion !
Merci Nerwen !