Analyse
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Analyse
A – Analyse
Un marathon un peu loupé pour moi la dernière fois, ceci est dû à plusieurs raisons.
Ce soir-là il y avait plusieurs autres activités auxquelles je voulais participer: différents concerts dans la région où jouaient des connaissances, une manifestation ferroviaire, un match de hockey sur glace, un cahier itinérant à écrire, bref de quoi faire.
J'ai choisi cet espace, possibilité ainsi de rester calmement à la maison, ayant été absent toute la semaine, dont la nuit des musées à Bâle.
Cependant je manquai d'idée, aucune inspiration, la tête était ailleurs.
Et gentiment la fatigue est venue m'envahir.
Une frustration? Peut-être, toutefois sans gravité. Un regret d'avoir participé? Certainement pas, car pas sûr que j'aurais été plus en forme dans une autre activité.
Finalement, à ne pas prendre pour un échec, car justement, comme en sport, au travail, en musique, il n'est pas toujours possible d'être au plus haut de sa forme, et c'est justement ça aussi la richesse de ce marathon.
Alors je tente de faire mieux ce matin.
Je pense avoir mentionné pas mal de mes impressions dans ce texte qui est le premier de ma deuxième partie.
J’ai écrit 7 textes au début de mon marathon, soit le samedi soir, et effectivement je n’étais pas au plus haut de ma forme, contrairement à d’autres années. Je voulais déjà m’arrêter après 5 textes et me coucher, mais heureusement d’autres m’ont encouragé par leur présence, dont notamment Cassy et July (avec ses commentaires musicaux que j'ai fort appréciés )
Je cherchais les mots, je n’étais pas inspiré, et quand je l’étais, je ne trouvais pas les termes adéquats, à tel point que je feuilletais le dictionnaire. C’est le syndrome de la fatigue
et j’ai fini le 7ème texte en queue de poisson, pas trop satisfait, mais en étant conscient que tout n’était pas mauvais.
Et comme un ennui ne vient pas toujours seul, j’ai eu des problèmes avec mon ordi que j’ai dû basculé en mode tablette, ce qui est loin d’être l’idéal.
Enfin un autre syndrome, j’ai un virus nommé marathonîte; la raison pour laquelle j’ai repris la course jeudi matin, pourtant quelques heures avant d’aller travailler. Là, aucun problème, j’étais bien, j’ai pondu quatre textes. Tellement bien lancé, que si j’avais encore eu du temps devant moi, j’aurais certainement doublé, voir triplé la mise
Les symptômes du virus restent, il faut savoir que c’est chronique, et je me réjouis déjà du prochain marathon
Un marathon un peu loupé pour moi la dernière fois, ceci est dû à plusieurs raisons.
Ce soir-là il y avait plusieurs autres activités auxquelles je voulais participer: différents concerts dans la région où jouaient des connaissances, une manifestation ferroviaire, un match de hockey sur glace, un cahier itinérant à écrire, bref de quoi faire.
J'ai choisi cet espace, possibilité ainsi de rester calmement à la maison, ayant été absent toute la semaine, dont la nuit des musées à Bâle.
Cependant je manquai d'idée, aucune inspiration, la tête était ailleurs.
Et gentiment la fatigue est venue m'envahir.
Une frustration? Peut-être, toutefois sans gravité. Un regret d'avoir participé? Certainement pas, car pas sûr que j'aurais été plus en forme dans une autre activité.
Finalement, à ne pas prendre pour un échec, car justement, comme en sport, au travail, en musique, il n'est pas toujours possible d'être au plus haut de sa forme, et c'est justement ça aussi la richesse de ce marathon.
Alors je tente de faire mieux ce matin.
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Je pense avoir mentionné pas mal de mes impressions dans ce texte qui est le premier de ma deuxième partie.
J’ai écrit 7 textes au début de mon marathon, soit le samedi soir, et effectivement je n’étais pas au plus haut de ma forme, contrairement à d’autres années. Je voulais déjà m’arrêter après 5 textes et me coucher, mais heureusement d’autres m’ont encouragé par leur présence, dont notamment Cassy et July (avec ses commentaires musicaux que j'ai fort appréciés )
Je cherchais les mots, je n’étais pas inspiré, et quand je l’étais, je ne trouvais pas les termes adéquats, à tel point que je feuilletais le dictionnaire. C’est le syndrome de la fatigue
et j’ai fini le 7ème texte en queue de poisson, pas trop satisfait, mais en étant conscient que tout n’était pas mauvais.
Et comme un ennui ne vient pas toujours seul, j’ai eu des problèmes avec mon ordi que j’ai dû basculé en mode tablette, ce qui est loin d’être l’idéal.
Enfin un autre syndrome, j’ai un virus nommé marathonîte; la raison pour laquelle j’ai repris la course jeudi matin, pourtant quelques heures avant d’aller travailler. Là, aucun problème, j’étais bien, j’ai pondu quatre textes. Tellement bien lancé, que si j’avais encore eu du temps devant moi, j’aurais certainement doublé, voir triplé la mise
Les symptômes du virus restent, il faut savoir que c’est chronique, et je me réjouis déjà du prochain marathon
Dernière édition par trainmusical le Mer 28 Jan - 20:04, édité 1 fois
trainmusical- Occupe le terrain
- Humeur : à vous de juger :-)
Re: Analyse
Il paraît qu'un certain Voltaire a dit que rien ne se faisait sans un peu d'enthousiasme.
Et dans le deuxième marathon, cela s'est mieux ressenti. :-)
Pour le premier, j'ai apprécié pouvoir marathoner en ta présence et même suivre et partager tes écoutes musicales pendant ce temps.
Et dans le deuxième marathon, cela s'est mieux ressenti. :-)
Pour le premier, j'ai apprécié pouvoir marathoner en ta présence et même suivre et partager tes écoutes musicales pendant ce temps.
July_C- Kaléïd'habitué
- Humeur : qui vagabonde
Re: Analyse
J'ai bien aimé ton marathon. Une certaine légèreté, une dimension musicale. Tout cela était plaisant.
Kz- Kaléïd'habitué
- Humeur : bonne
Re: Analyse
Comme déjà dit l'Homme ne peut faire deux choses à la fois, la Femme , si.
Dans ton 2e marathon tu étais plus concentré, fini le hockey, le cahier, les musées.....
Dans ton 2e marathon tu étais plus concentré, fini le hockey, le cahier, les musées.....
Amanda.- Modératrice
- Humeur : résolument drôle
Re: Analyse
Amanda a raison, dans ton premier marathon, l'envie était là mais pas la disponibilité, tu avais la tête à trop de choses à la fois. L'an prochain tu seras à la retraite, tu n'y couperas pas à 2 voir 3 marathons dans la même semaine
Admin- Admin
- Humeur : Concentrée
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