Pour le bonheur de Titania
3 participants
Page 1 sur 1
Pour le bonheur de Titania
L’appel de Lugh a été entendu. En ce jour du jugement, ce jour de venue de l’Haruspice, les druides se sont rassemblés dans le cercle protecteur des pierres sacrées.
Depuis des jours déjà les hordes de monstres de l’Haruspice avaient commencé leur besogne, attaquant ça et là. Les haruspiciens déjà se battaient, offrant les âmes des morts à Leur maître. Mais les druides ne bougeaient pas.
Dans le cercle, les prières montaient vers le ciel dans l’attente du Signe des Esprits qui déchaînerait les fureurs de la Nature et abattrait les armes des druides sur Ses ennemis. Tous les sentiments se reflétaient sur les visages. Certains étaient sereins, conscients d’atteindre en ce jour l’ultime but d’un druide, d’autres semblaient inquiets, nerveux, ayant peur de faillir au dernier moment. Mais tous gardaient en leur cœur les paroles de Mashad : Pour le Bonheur de Titania.
Les armes étaient prêtes à frapper, les sorts prêts à être incanter. Dans le sous-sol sacré se trouvaient les réserves de potions que les Ovates fabriquaient depuis des mois. Les aspirants furent tenus informés. Lorsque la Vérité leur fut révélée, tous les druides ont pu lire sur leurs visages les sentiments qu’ils avaient ressentit à l’annonce de cette vérité. Mais la foi des aspirants était profonde, tous le savaient, et malgré les dangers ils acceptèrent de se battre : Pour le Bonheur de Titania.
L’impatience et la nervosité avaient atteint le point de non-retour quand enfin, le signe tant attendu de la Nature arriva.
Physalis se présenta en personne, son cœur d’Ent emplit d’humeur guerrière. « Il est temps » dit il. Dans toutes les têtes résonnaient encore les cris des animaux morts sous les coups des hommes, la fureur des Esprits vivants dans les arbres abattus et la douleur de Titania lorsque l’on touchait à Ses enfants, Sa Nature, Sa création. L’heure n’était plus aux questions. Il était temps d’agir, de prouver sa foi : Pour le Bonheur de Titania.
Tous connaissaient le but, détruire en premier la ville royale de Silversky. La rage au cœur, la peur au ventre, les druides sont montés à l’assaut de ses murs, tuant, massacrant les ennemis de la Nature et toujours scandant : par Lugh, pour Titania ! Les Esprits étaient à leurs cotés. Physalis les guidait, leur donnant des forces lorsque la tache semblait trop rude. Bientôt le château fut en flammes, il brûlait et la chaleur du brasier nous fit reculer. Les flammes montaient vers le ciel, crépitaient et le toit en s’effondrant emporta avec lui les cris des mourants.
La résistance s’organisât, les syliens à leur tête. Leur courage, leur volonté de vivre, de survivre ne furent pas suffisants. Ils se battirent comme des lions, faisant abstraction des anciens liens d’amitié, tentant de contrer la fureur des Esprits de la Nature et des druides, et durent fuir honorablement devant la volonté d’agir Pour le Bonheur de Titania.
Les combats faisaient rage. Partout les maisons brûlaient, partout résonnaient les râles des mourants, partout sur les vents les cris de haines envers les druides retentissaient. Ces cris venant d’amis, de parents, d’amants faisaient encore plus mal que les coups infligés par les défenseurs de la ville. Comment leur faire comprendre, a eux qui ne voyaient en les druides qu’un instrument de mort, que nous agissions pour la Nature qui leur avait tout donné et qu’ils ne respectaient pas, pour qu’Elle reprenne Ses droits sur ces terres saccagées par l’humanité, Pour le Bonheur de Titania ?
Les dernières poches de résistance tombèrent une à une. La ville brûlait et le brasier devait se voir à des milles à la ronde. Une odeur de mort, de chair brûlée, de fumée acre flottait dans la ville. Tous étaient hébétés, le visage noirci par la fumée des incendies, avec pour certains des sillons, des traces de larmes, sur les joues. Pleurs sur les amis morts, pleurs sur la haine pesante, oppressante que les survivants ressentaient envers les druides, pleurs sur cet ultime sacrifice que nous nous étions imposés Pour le Bonheur de Titania.
Mais la tache sacrée n’était pas achevée. Les haruspiciens qui avaient rasé Windhowl réclamaient de l’aide contre les bréhanites barricadés dans la ville centaure. Devant les portes de la ville, la Liche, sortie de son antre, réclamait ses droits sur l’île de Stonheim. La bataille contre elle fut des plus rudes, les pierres ont brillées mais notre foi nous guidait. La Liche fut vaincue et la ville centaure réduite a néant. Pour le Bonheur de Titania.
L’armée des druides est alors repartie au cercle, certains se battant encore et toujours, d’autres marchant comme des automates, n’ayant plus la force d’infliger la mort, n’ayant plus le courage d’ouvrir les yeux pour voir ce champ de ruines, ce champ de morts qu’étaient devenues les îles d’Althéa. Voyant quelques druides faiblir, l’Haruspice ou les Esprits ont alors envoyé la peste prendre le relais et terminer la tache sacrée Pour le Bonheur de Titania.
Soudain, après des heures, des jours, de cris de fureur, de hurlement de mort et de haine, le silence s’établit. Le sang séchait sur les lames, coagulait dans les blessures de la chair, mais les blessures du cœur et de l’âme restaient profondes. Sans voix, sans force, se demandant comment avoir un jour le courage de se regarder en face, tous se sont écroulés dans le cercle, dos aux pierres sacrées, essayant de retrouver en eux l’espoir, la foi, l’amour, la sérénité, ce qui avait fait d’eux ce qu’ils sont : des druides, agissant Pour le Bonheur de Titania.
Mashad est alors venu au cercle, porteur de ces paroles d’espoir :
« Ainsi vous avez réussit, la Nature sort victorieuse. La guerre fut horrible, la plus terrible qu’ai connu Althea, c’est certain. Mais la Nature vas reprendre ses droits. Nul mal ne lui sera fait maintenant. Titania ne connaitra plus que le bonheur et cela que par vous. Vous allez repeupler ce monde dans la tradition druidique et le respect de la Nature. Lugh et l’Haruspice sont unis, les deux morts ne forment plus qu’une. Les haruspiciens font partis de la Nature, tout comme l’explique l’histoire de ce monde. »
Ensuite il nomma druides de plein droit tout les aspirants ayant participé et survécut a la bataille.
C’est alors que Myriel se leva et ouvrit enfin la bouche après des heures de silence. Elle posa la question qui lui torturait l’âme et le cœur : « Titania est elle heureuse ? »
La réponse de Mashad lui apporta un peu de baume au cœur :
« Titania est heureuse de vous savoir en vie. Elle a souffert de vous voir combattre. Mais maintenant, elle ne vivra que dans l’amour et cela grâce à vous, grâce à vos sacrifices. Nous avons réussit. Ce monde sera comme l’aube des Elfes. Les Esprits pourront sortir allégrement. Il ne sera plus rare de voir Dryades, Nymphes au détour d’une foret. Que les Esprits vous protègent à tout jamais ! »
Chacun eut alors sur les lèvres les mots que Mashad avait déjà prononcé : « Ma vie pour la Nature ». Et ce fut sur cette phrase, reprise en chœur par les druides, que le guide de la communauté de Goldmoon, après les avoir regardé tout a tour pour emplir sa mémoire de leur visages, se retourna et sortit du cercle. Nul ne le revit jamais plus.
Une douce voix s’éleva alors, une voix inscrite au plus profond des âmes. La voix de Titania emplis le cercle, ne disant que trois mot : « Je vous aime… ». Les larmes se mirent à couler sur les visages des druides. L’émotion était trop forte, le but de cette terrible guerre était atteint : Le Bonheur de Titania.
Lyre, sylphe d’une Oratrice brisée de chagrin et de fatigue,
Compagne de jeu d’une enfant devenue femme
Amie de Myriel, pour laquelle elle mettra tout en œuvre pour lui redonner le sourire et le goût de vivre.
Depuis des jours déjà les hordes de monstres de l’Haruspice avaient commencé leur besogne, attaquant ça et là. Les haruspiciens déjà se battaient, offrant les âmes des morts à Leur maître. Mais les druides ne bougeaient pas.
Dans le cercle, les prières montaient vers le ciel dans l’attente du Signe des Esprits qui déchaînerait les fureurs de la Nature et abattrait les armes des druides sur Ses ennemis. Tous les sentiments se reflétaient sur les visages. Certains étaient sereins, conscients d’atteindre en ce jour l’ultime but d’un druide, d’autres semblaient inquiets, nerveux, ayant peur de faillir au dernier moment. Mais tous gardaient en leur cœur les paroles de Mashad : Pour le Bonheur de Titania.
Les armes étaient prêtes à frapper, les sorts prêts à être incanter. Dans le sous-sol sacré se trouvaient les réserves de potions que les Ovates fabriquaient depuis des mois. Les aspirants furent tenus informés. Lorsque la Vérité leur fut révélée, tous les druides ont pu lire sur leurs visages les sentiments qu’ils avaient ressentit à l’annonce de cette vérité. Mais la foi des aspirants était profonde, tous le savaient, et malgré les dangers ils acceptèrent de se battre : Pour le Bonheur de Titania.
L’impatience et la nervosité avaient atteint le point de non-retour quand enfin, le signe tant attendu de la Nature arriva.
Physalis se présenta en personne, son cœur d’Ent emplit d’humeur guerrière. « Il est temps » dit il. Dans toutes les têtes résonnaient encore les cris des animaux morts sous les coups des hommes, la fureur des Esprits vivants dans les arbres abattus et la douleur de Titania lorsque l’on touchait à Ses enfants, Sa Nature, Sa création. L’heure n’était plus aux questions. Il était temps d’agir, de prouver sa foi : Pour le Bonheur de Titania.
Tous connaissaient le but, détruire en premier la ville royale de Silversky. La rage au cœur, la peur au ventre, les druides sont montés à l’assaut de ses murs, tuant, massacrant les ennemis de la Nature et toujours scandant : par Lugh, pour Titania ! Les Esprits étaient à leurs cotés. Physalis les guidait, leur donnant des forces lorsque la tache semblait trop rude. Bientôt le château fut en flammes, il brûlait et la chaleur du brasier nous fit reculer. Les flammes montaient vers le ciel, crépitaient et le toit en s’effondrant emporta avec lui les cris des mourants.
La résistance s’organisât, les syliens à leur tête. Leur courage, leur volonté de vivre, de survivre ne furent pas suffisants. Ils se battirent comme des lions, faisant abstraction des anciens liens d’amitié, tentant de contrer la fureur des Esprits de la Nature et des druides, et durent fuir honorablement devant la volonté d’agir Pour le Bonheur de Titania.
Les combats faisaient rage. Partout les maisons brûlaient, partout résonnaient les râles des mourants, partout sur les vents les cris de haines envers les druides retentissaient. Ces cris venant d’amis, de parents, d’amants faisaient encore plus mal que les coups infligés par les défenseurs de la ville. Comment leur faire comprendre, a eux qui ne voyaient en les druides qu’un instrument de mort, que nous agissions pour la Nature qui leur avait tout donné et qu’ils ne respectaient pas, pour qu’Elle reprenne Ses droits sur ces terres saccagées par l’humanité, Pour le Bonheur de Titania ?
Les dernières poches de résistance tombèrent une à une. La ville brûlait et le brasier devait se voir à des milles à la ronde. Une odeur de mort, de chair brûlée, de fumée acre flottait dans la ville. Tous étaient hébétés, le visage noirci par la fumée des incendies, avec pour certains des sillons, des traces de larmes, sur les joues. Pleurs sur les amis morts, pleurs sur la haine pesante, oppressante que les survivants ressentaient envers les druides, pleurs sur cet ultime sacrifice que nous nous étions imposés Pour le Bonheur de Titania.
Mais la tache sacrée n’était pas achevée. Les haruspiciens qui avaient rasé Windhowl réclamaient de l’aide contre les bréhanites barricadés dans la ville centaure. Devant les portes de la ville, la Liche, sortie de son antre, réclamait ses droits sur l’île de Stonheim. La bataille contre elle fut des plus rudes, les pierres ont brillées mais notre foi nous guidait. La Liche fut vaincue et la ville centaure réduite a néant. Pour le Bonheur de Titania.
L’armée des druides est alors repartie au cercle, certains se battant encore et toujours, d’autres marchant comme des automates, n’ayant plus la force d’infliger la mort, n’ayant plus le courage d’ouvrir les yeux pour voir ce champ de ruines, ce champ de morts qu’étaient devenues les îles d’Althéa. Voyant quelques druides faiblir, l’Haruspice ou les Esprits ont alors envoyé la peste prendre le relais et terminer la tache sacrée Pour le Bonheur de Titania.
Soudain, après des heures, des jours, de cris de fureur, de hurlement de mort et de haine, le silence s’établit. Le sang séchait sur les lames, coagulait dans les blessures de la chair, mais les blessures du cœur et de l’âme restaient profondes. Sans voix, sans force, se demandant comment avoir un jour le courage de se regarder en face, tous se sont écroulés dans le cercle, dos aux pierres sacrées, essayant de retrouver en eux l’espoir, la foi, l’amour, la sérénité, ce qui avait fait d’eux ce qu’ils sont : des druides, agissant Pour le Bonheur de Titania.
Mashad est alors venu au cercle, porteur de ces paroles d’espoir :
« Ainsi vous avez réussit, la Nature sort victorieuse. La guerre fut horrible, la plus terrible qu’ai connu Althea, c’est certain. Mais la Nature vas reprendre ses droits. Nul mal ne lui sera fait maintenant. Titania ne connaitra plus que le bonheur et cela que par vous. Vous allez repeupler ce monde dans la tradition druidique et le respect de la Nature. Lugh et l’Haruspice sont unis, les deux morts ne forment plus qu’une. Les haruspiciens font partis de la Nature, tout comme l’explique l’histoire de ce monde. »
Ensuite il nomma druides de plein droit tout les aspirants ayant participé et survécut a la bataille.
C’est alors que Myriel se leva et ouvrit enfin la bouche après des heures de silence. Elle posa la question qui lui torturait l’âme et le cœur : « Titania est elle heureuse ? »
La réponse de Mashad lui apporta un peu de baume au cœur :
« Titania est heureuse de vous savoir en vie. Elle a souffert de vous voir combattre. Mais maintenant, elle ne vivra que dans l’amour et cela grâce à vous, grâce à vos sacrifices. Nous avons réussit. Ce monde sera comme l’aube des Elfes. Les Esprits pourront sortir allégrement. Il ne sera plus rare de voir Dryades, Nymphes au détour d’une foret. Que les Esprits vous protègent à tout jamais ! »
Chacun eut alors sur les lèvres les mots que Mashad avait déjà prononcé : « Ma vie pour la Nature ». Et ce fut sur cette phrase, reprise en chœur par les druides, que le guide de la communauté de Goldmoon, après les avoir regardé tout a tour pour emplir sa mémoire de leur visages, se retourna et sortit du cercle. Nul ne le revit jamais plus.
Une douce voix s’éleva alors, une voix inscrite au plus profond des âmes. La voix de Titania emplis le cercle, ne disant que trois mot : « Je vous aime… ». Les larmes se mirent à couler sur les visages des druides. L’émotion était trop forte, le but de cette terrible guerre était atteint : Le Bonheur de Titania.
Lyre, sylphe d’une Oratrice brisée de chagrin et de fatigue,
Compagne de jeu d’une enfant devenue femme
Amie de Myriel, pour laquelle elle mettra tout en œuvre pour lui redonner le sourire et le goût de vivre.
________________________
C'est un texte très long que je vous propose ici. Ce texte je l'ai écrit il y a longtemps maintenant, il s'agit pour moi de la fin d'un jeu en réseau, de la dernière animation. c'est un texte qui pour moi est toujours chargé d'émotion, car il représente la fin d'une époque, deux ans de jeu en ligne, deux ans qui avaient vu ce personnage dont j'ai gardé le pseudo, Myriel, naitre et grandir, deux ans durant lesquels je étais fait de nouveaux amis très chers a mon cœur et je ne savais pas a ce moment la que nous resterions liés (deux d'entre eux sont d'ailleurs les parrains de mes filles).
Myriel- Kaléïd'habitué
- Humeur : Girouette
Re: Pour le bonheur de Titania
En effet, cette expérience a dû te marquer. Je suis heureuse pour Titania. En lisant ton texte, je pensais voilà l'explication à la consigne suivante. ¨Peut être en écriras tu la suite ? Ces fuyant de la consigne 331 pourraient bien être les rescapés d'Althéa, non ?
Escandélia- Kaléïd'habitué
- Humeur : joyeuse
Re: Pour le bonheur de Titania
J'avoue que le genre fantastique est assez méconnue pour moi car j'ai du mal à y adhérer . Mais ton texte est parfaitement écrit et parfaitement mis en forme .ta plume est maîtrisée d'un bout à l'autre . Tu as fait du super boulot.
Ton explication m'a aidée à comprendre ce que t'a apporté ce jeu en réseau. Après 2 ans j'imagine que l'on doit ressentir comme une vraie perte après le mot de la fin. Est-ce que tu as retrouvé, après ce jeu un autre ju en réseau avec les mêmes sensations?
Ton explication m'a aidée à comprendre ce que t'a apporté ce jeu en réseau. Après 2 ans j'imagine que l'on doit ressentir comme une vraie perte après le mot de la fin. Est-ce que tu as retrouvé, après ce jeu un autre ju en réseau avec les mêmes sensations?
Admin- Admin
- Humeur : Concentrée
Re: Pour le bonheur de Titania
@ Escandélia il est vrai que la consigne 331 pourrai tout a fait être une suite a ce texte, mais je ne sais si je pourrais l’écrire. Il existe deja une suite d'ailleurs, qui s'intitule le destin de Myriel (entre autre, vu que j'avais posté ce texte à l’époque sur le forum de jeu et de nombreuses personnes y ont apporté leur contribution en écrivant leur suite).
@ Admin une vraie perte oui, car en plus a l'époque c’était intense comme jeu (plus jeune, pas d'enfants donc je jouait beaucoup) mais cela a permit des liens d'amitié très très forts et qui durent malgré le temps. J'ai joué effectivement a d'autres jeux, j'ai trouvé par ce biais d'autres amitiés aussi très fortes (comme quoi le net sert aussi pour cela) mais vu le nombre de jeux maintenant la communauté role play (ceux qui jouent leur rôle, comme si c’était du théâtre en fait) s'est éclatée, les jeux que l'on trouve maintenant c'est plus du "tapage de monstres pour être le plus fort" et ça m’intéresse moins, sans compter que je n'ai plus vraiment le temps.
Merci de vos commentaires
@ Admin une vraie perte oui, car en plus a l'époque c’était intense comme jeu (plus jeune, pas d'enfants donc je jouait beaucoup) mais cela a permit des liens d'amitié très très forts et qui durent malgré le temps. J'ai joué effectivement a d'autres jeux, j'ai trouvé par ce biais d'autres amitiés aussi très fortes (comme quoi le net sert aussi pour cela) mais vu le nombre de jeux maintenant la communauté role play (ceux qui jouent leur rôle, comme si c’était du théâtre en fait) s'est éclatée, les jeux que l'on trouve maintenant c'est plus du "tapage de monstres pour être le plus fort" et ça m’intéresse moins, sans compter que je n'ai plus vraiment le temps.
Merci de vos commentaires
Myriel- Kaléïd'habitué
- Humeur : Girouette
Sujets similaires
» A- Ma recette du bonheur.
» B. Quel bonheur !
» C. N'est-ce pas cela le bonheur ?
» Le Bonheur c'est maintenant !
» A- Le train du bonheur.
» B. Quel bonheur !
» C. N'est-ce pas cela le bonheur ?
» Le Bonheur c'est maintenant !
» A- Le train du bonheur.
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum