Pour une fois que le petit écran m’émeut…
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Pour une fois que le petit écran m’émeut…
Pour une fois que le petit écran m’émeut…
…Ou quand les musiciens craquent lors d’un hommage à un chef.
…Ou quand les musiciens craquent lors d’un hommage à un chef.
Ce n’est pas un homme politique, ni un général, c'est un artiste au sens noble du terme: un grand chef d'orchestre, un maestro qui est décédé cette année: Claudio Abbado.
Un orchestre de circonstance, dont il avait lui-même choisi et invité les brillants instrumentistes appartenant à divers grands orchestres, lui rend un vibrant hommage lors d’un concert donné le 6 avril 2014 à Lucerne.
Ses connaissances, ses ressentis, le maestro avait sa manière de les partager en compagnie des autres musiciens, avec passion, avec émotion.
Il a aussi formé des orchestres de jeunes et tenté de démocratiser la musique.
Un grand homme, je vous dis.
De nombreux hommages se sont déroulés autour du globe, mais c’est celui de Lucerne qui retient mon attention pour cette consigne.
Je n’y étais pas en vrai, je le vois cette semaine lors d'une émission de la télévision suisse-allemande. Ça se passe dans la magnifique salle du palais de la culture et des congrès, un impressionnant bâtiment dessiné par Jean Nouvel, un lieu que je connais bien et que je magnifie.
Le concert est dirigé par Andris Nelsons… enfin seulement la deuxième partie, la première étant dirigée par Claudio Abbado… le pupitre est vide pendant l’interprétation d’un mouvement de la symphonie inachevée de Schubert, mais les musiciens sentent vibrer le maestro, moi aussi; il est vraiment là. Andris Nelsons conclue avec le mouvement final de la 3ème symphonie de Mahler.
Je suis rarement ému sur le petit écran, mais cette fois-ci, je le suis. Des artistes qui lui sont si reconnaissants pour ce qu’il leur a apporté, aussi pour son amitié, ça se sent tout au long de leurs notes.
Le paroxysme est atteint après le dernier accord: le chef letton maintien la baguette pendant une minute avant que les applaudissements retentissent. Une minute très émouvante, dans le public et sur la scène des yeux sont humides. Ensuite de voir tous ces musiciennes et musiciens s’entrelacés entre eux, de nombreux pleurs, entremêlés de sourires sincères…
Les conséquences d’un maestro aimé et qui a aimé.
Mes larmes ont aussi coulé…
Un orchestre de circonstance, dont il avait lui-même choisi et invité les brillants instrumentistes appartenant à divers grands orchestres, lui rend un vibrant hommage lors d’un concert donné le 6 avril 2014 à Lucerne.
Ses connaissances, ses ressentis, le maestro avait sa manière de les partager en compagnie des autres musiciens, avec passion, avec émotion.
Il a aussi formé des orchestres de jeunes et tenté de démocratiser la musique.
Un grand homme, je vous dis.
De nombreux hommages se sont déroulés autour du globe, mais c’est celui de Lucerne qui retient mon attention pour cette consigne.
Je n’y étais pas en vrai, je le vois cette semaine lors d'une émission de la télévision suisse-allemande. Ça se passe dans la magnifique salle du palais de la culture et des congrès, un impressionnant bâtiment dessiné par Jean Nouvel, un lieu que je connais bien et que je magnifie.
Le concert est dirigé par Andris Nelsons… enfin seulement la deuxième partie, la première étant dirigée par Claudio Abbado… le pupitre est vide pendant l’interprétation d’un mouvement de la symphonie inachevée de Schubert, mais les musiciens sentent vibrer le maestro, moi aussi; il est vraiment là. Andris Nelsons conclue avec le mouvement final de la 3ème symphonie de Mahler.
Je suis rarement ému sur le petit écran, mais cette fois-ci, je le suis. Des artistes qui lui sont si reconnaissants pour ce qu’il leur a apporté, aussi pour son amitié, ça se sent tout au long de leurs notes.
Le paroxysme est atteint après le dernier accord: le chef letton maintien la baguette pendant une minute avant que les applaudissements retentissent. Une minute très émouvante, dans le public et sur la scène des yeux sont humides. Ensuite de voir tous ces musiciennes et musiciens s’entrelacés entre eux, de nombreux pleurs, entremêlés de sourires sincères…
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Source des photos pour le montage tiré de l'émission SRF Sternstunde
trainmusical- Occupe le terrain
- Humeur : à vous de juger :-)
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