A. Le fil du labyrinthe
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Cassy
Amanda.
6 participants
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A. Le fil du labyrinthe
Moi je voudrais, un crayon à papier, le même que dans notre enfance, un simple crayon à papier.
Je laisserais mon crayon courir au fil de mes pensées, au fil du labyrinthe de ma vie.
C’est une chose bien étrange à la fin que le monde.
Ce qu’il y a de beau, de plus excitant, ce sont les commencements.
L’enfance et les matins ont la splendeur des choses neuves.
Naître est toujours un bonheur.
Ce qu’il y a de moins inutile sous le soleil, c’est de nous aimer les uns les autres.
Ce qui change le cours des choses et en accélère le rythme c’est l’écriture.
Une vallée de roses …
Je m’y abandonne dans l’admiration, la gaieté, la gratitude, une soif d’espérance, un élan vers la beauté et la vérité.
Longtemps je me suis promené dans le monde, les mains dans les poches, le nez en l’air. Et le monde était beau.
Un vagabond qui passe sous une ombrelle trouée…
La vie est très gaie. Elle est brève mais longue. Il lui arrive d’être enchanteresse. Nous détestons la quitter.
Je mourrai naturellement, mais je ne m’en plains pas.
Un jour je m’en irai sans avoir tout dit.
Jean d’O.
Je laisserais mon crayon courir au fil de mes pensées, au fil du labyrinthe de ma vie.
C’est une chose bien étrange à la fin que le monde.
Ce qu’il y a de beau, de plus excitant, ce sont les commencements.
L’enfance et les matins ont la splendeur des choses neuves.
Naître est toujours un bonheur.
Ce qu’il y a de moins inutile sous le soleil, c’est de nous aimer les uns les autres.
Ce qui change le cours des choses et en accélère le rythme c’est l’écriture.
Une vallée de roses …
Je m’y abandonne dans l’admiration, la gaieté, la gratitude, une soif d’espérance, un élan vers la beauté et la vérité.
Longtemps je me suis promené dans le monde, les mains dans les poches, le nez en l’air. Et le monde était beau.
Un vagabond qui passe sous une ombrelle trouée…
La vie est très gaie. Elle est brève mais longue. Il lui arrive d’être enchanteresse. Nous détestons la quitter.
Je mourrai naturellement, mais je ne m’en plains pas.
Un jour je m’en irai sans avoir tout dit.
Jean d’O.
Amanda.- Modératrice
- Humeur : résolument drôle
Re: A. Le fil du labyrinthe
Evidemment, on ne peut que se taire devant cette plume
Cassy- Admin
- Humeur : Déterminée
Re: A. Le fil du labyrinthe
Qu'est-ce qu'il écrivait bien! Bravo à toi de nous faire (re) découvrir ce texte.
Zéphyrine- Modératrice écriture libre
- Humeur : Méditerranéenne
Re: A. Le fil du labyrinthe
C'était quand même quelqu'un ce Jean d'O !
Il eut mérité d'attendre encore un peu avant de s'en aller, en tout cas choisir une autre semaine, mais de là-haut, ça le fait peut-être rire !
Il eut mérité d'attendre encore un peu avant de s'en aller, en tout cas choisir une autre semaine, mais de là-haut, ça le fait peut-être rire !
catsoniou- Kaléïd'habitué
- Humeur : couci - couça
Re: A. Le fil du labyrinthe
Tu as choisi de très belles phrases, et titres, et le choix a dû être difficile....
Sa plume était merveilleuse, ses œuvres une leçon de vie, et le bleu de son regard une invitation à le lire...
Je pense qu'il aurait aimé lire ton texte, en souriant de l'avoir un peu écrit lui-même...
Sa plume était merveilleuse, ses œuvres une leçon de vie, et le bleu de son regard une invitation à le lire...
Je pense qu'il aurait aimé lire ton texte, en souriant de l'avoir un peu écrit lui-même...
Xavier Eblo- Kaléïd'habitué
- Humeur : Zen
Re: A. Le fil du labyrinthe
Tu partages avec nous de belles phrases du personnage résolument optimiste et sans cesse émerveillé par la vie...
Myrte- Kaléïd'habitué
- Humeur : Curieuse
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