A. Chimère fatiguée
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catsoniou
Escandélia
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A. Chimère fatiguée
Je n'ai pas fermé l’œil de la nuit.
C'est le jour après l'équinoxe d'automne, les horloges ont été reculées d'une heure et la foule des touristes arrive peu a peu sur le parvis de Notre-Dame.
D'en haut, ces humains ressemblent à des fourmis. Ils sont insignifiants, et rien ne les distinguent les uns des autres hormis leurs vêtements ou la couleur de leur parapluie les temps gris.
Mais aujourd'hui aucune protection n'est nécessaire. Le temps est encourageant et un rai de lumière filtre à travers les nuages pour percer sur les champs. Cela fait quelques années maintenant que le temps est clément voir doux au mois de septembre.
Oh, notre tour Eiffel, symbole de Paris et de la France. Admirez comme elle est belle ! Je l'ai vu se construire petit à petit cet édifice. Ça n'a pas été une mince affaire. 226 ans qu'elle nous éblouit maintenant, et de nombreuses péripéties. Mais ceci est une autre histoire que je vous conterai plus tard.
Aujourd’hui, si vous êtes là, c'est pour entendre le récit de ce qui s'est passé cette nuit.
Comme vous pouvez le voir, nous nous situons au sommet de Notre-Dame. Nous sommes là depuis un bon moment déjà. Nous avons vu Paris s'ériger, même si nous demeurons sur un monument qui était là bien avant nous. C'est par un certain Eugène Emmanuel Viollet-le-Duc que nous sommes apparus ici. Il nous a trouvé un coin plutôt plaisant, d'où nous dominons le tout Paris. Il ne pouvait trouver mieux, et n'avait pas dans l'idée tous les desseins qui pouvaient se former, dans nos déplaisantes caboches lorsqu'il nous a esquissé.
Bref, on va pas refaire l'histoire mais c'est que plus d'un siècle, ça vous en fait voir des événements. Certains plus importants que d'autres, d'autres plus amusants que certains.
Les passants nous observent chaque jour, aussi nous nous devons d'être impeccables.
Ils nous montrent du doigt, nous photographient de face, de profil et parfois de travers.
Il faut être bien faits, surtout face aux commentaires qu'ils se permettent.
Parce qu'on ressemble à des monstres selon eux, nous avons moins d'importance que les bas reliefs qui ornent le haut des portes de la cathédrale, que les rosaces, voir même que les gargouilles qui vomissent des quantités d'eau lors des temps de pluie.
Mais est-ce notre faute si Eugène nous a fait aussi laides ? Non ! Ça, c'est l'avis des badauds.
Pour ma part, je me trouve plutôt gracieuse face à ces bipèdes empotés.
Suis une stryge pas comme les autres. Et beaucoup envient mon emplacement privilégié.
De là où je suis, je domine, je guette, je sélectionne puis je traque. Ainsi vont mes journées.
Essayer de déterminer quelle sera la proie idéale. La plus juteuse, celle qui fera de cette nuit un régal.
Hé oui, car peu de gens le savent, mais lors de l'équinoxe d'automne, une antique magie nous permet de reprendre vie l'espace de quelques heures où tous les coups sont permis, pour peu qu'on ne se fasse pas trop remarquer.
Au début, ça m'a surpris. Je ne m'attendais pas à cela. Certe, je savais que mes yeux voyaient de jour comme de nuit, et que mes oreilles percevaient le moindre bruit, le moindre commentaire de ces humanoïdes. Et bien que cela me semble une bizarrerie puisque nous ne sommes fait que de roche ciselée, je m'y étais habituée. Mais retrouver l'usage de mes ailes et de mes griffes ; je ne m y attendais point.
Tout du moins la première fois ... ce qui remonte à la nuit du 22 septembre 1853.
Maintenant j'ai l'habitude et mon rituel est rodé. La journée, j'observe ces êtres patauds qui se perdent dans la ville, et je choisi celui que je torturerai la nuit tombée. Le choix est important. Il me faut quelqu'un de sain, tiré de cette engeance, et qui pourra me sustenter toute l'année.
Alors, j'ai jeté mon dévolu. Un jeune homme aux épaules robustes, une carrure imposante et dont le mépris pour Notre-Dame n'avait pas d'égal. Tout y est passé dans ses commentaires acérés. Pas que j'apprécie pour un sous ces petits anges trop sages ou cette architecture trop imposante, mais, c'est mon lieu de résidence, et j'y suis attachée au sens propre, comme au figuré. Alors qu'on se permette d'entièrement le dévaloriser, cela me met dans une colère folle.
Aussi après l'avoir guetté toute la journée, je me suis assurée qu'il était bien encore à ma portée lorsque la nuit fut tombée. J'avais éventuellement repéré d'autres proies au cas ou, mais, aucune qui ne me tenait plus à cœur que celui-ci. Coup de chance, cet être dévergondé voulait surement profiter pleinement de son séjour à la capitale. Lorsque mes ailes et mon buste furent libérés, je pu enfin m'envoler vers ce corps encanaillé. Il sillonnait les rues transversales après avoir livré bataille auprès d'une demoiselle peu respectable. Mal lui en prit de s'engager dans cette ruelle, où je pu livrer en toute discrétion mon méfait.
Il ne compris pas d'où l'attaque arrivât. J'imprimais mes serres dans ses épaules en poussant un cri si aigu qu'il en perdit immédiatement connaissance, et l'emmenais valser dans les airs avec moi. Nous voyageâmes ainsi jusqu' à la cathédrale d'Amiens.
De là, je pu constater que rien avait changé depuis ma dernière venue. Hormis 3 petites boules de roches qui semblaient se chamailler.
Je m'étais épris 5 ans plus tôt, au gré d'un de mes vols de nuit d'une chimère dont le corps ressemblait beaucoup à un félin ailé. Poussant notre amour un peu loin, j'avais l'année suivante mis bas à 3 adorables hybrides que je visitais dès que l'occasion m'était donnée. Ne pouvant pas les garder auprès de moi sur un site aussi célèbre et étudié que Notre-Dame, nous avions décidé, son père et moi de les élever à l’abri des regards dans un coin reculé de la cathédrale d'Amiens. Leur père veillant toujours sur eux, je me chargeais de leur apporter pitance dès que la magie me le permettait.
D'ordinaire, je me nourrissais du sang de quelques appétissants nouveaux nés, mais pour une famille, un adulte était de mise.
Nous prîmes alors un repas agréable, réunis tous les cinq autour de ce gaillard. Ces moments privilégiés passent toujours trop vite et je dû m'en aller, l'estomac plein, mais le cœur lourd bien avant d'en avoir assez profité.
Aussi maintenant je suis fatiguée, de ce vol et de l'éloignement des miens.
Je suis revenue de justesse de ma nuit effrénée et je n'ai pas eu le temps de souffler ni de réajuster ma position avant que les premiers rayons du soleil percent. Je venais à peine de retrouver mon emplacement, que mes traits commençaient à se figer. Ma tête lasse de cette sortie, reposait sur ma paume, pendant que je m'offrais un dernier regard nostalgique au-delà de cette ville endormie, vers mes êtres chéris ; avant d'être transis dans cette position.
Ma prestance en a pris un coup. Je ne pourrais me redresser que dans un an maintenant, lorsque la magie refera son office. Mais quelle belle nuit, et que de belles surprises de voir ces êtres grandir, rire et jouer. Tout recommencera dès que l'automne reparaîtra. D'ici là, il me faut trouver une nouvelle proie.
Maintenant, j'espère au fond de moi, que les touristes se désintéresseront du sommet de Notre-Dame. Sinon tout Paris sera en émoi, face à une chimère aux traits tirés qui ne suscite plus l'effroi.
C'est le jour après l'équinoxe d'automne, les horloges ont été reculées d'une heure et la foule des touristes arrive peu a peu sur le parvis de Notre-Dame.
D'en haut, ces humains ressemblent à des fourmis. Ils sont insignifiants, et rien ne les distinguent les uns des autres hormis leurs vêtements ou la couleur de leur parapluie les temps gris.
Mais aujourd'hui aucune protection n'est nécessaire. Le temps est encourageant et un rai de lumière filtre à travers les nuages pour percer sur les champs. Cela fait quelques années maintenant que le temps est clément voir doux au mois de septembre.
Oh, notre tour Eiffel, symbole de Paris et de la France. Admirez comme elle est belle ! Je l'ai vu se construire petit à petit cet édifice. Ça n'a pas été une mince affaire. 226 ans qu'elle nous éblouit maintenant, et de nombreuses péripéties. Mais ceci est une autre histoire que je vous conterai plus tard.
Aujourd’hui, si vous êtes là, c'est pour entendre le récit de ce qui s'est passé cette nuit.
Comme vous pouvez le voir, nous nous situons au sommet de Notre-Dame. Nous sommes là depuis un bon moment déjà. Nous avons vu Paris s'ériger, même si nous demeurons sur un monument qui était là bien avant nous. C'est par un certain Eugène Emmanuel Viollet-le-Duc que nous sommes apparus ici. Il nous a trouvé un coin plutôt plaisant, d'où nous dominons le tout Paris. Il ne pouvait trouver mieux, et n'avait pas dans l'idée tous les desseins qui pouvaient se former, dans nos déplaisantes caboches lorsqu'il nous a esquissé.
Bref, on va pas refaire l'histoire mais c'est que plus d'un siècle, ça vous en fait voir des événements. Certains plus importants que d'autres, d'autres plus amusants que certains.
Les passants nous observent chaque jour, aussi nous nous devons d'être impeccables.
Ils nous montrent du doigt, nous photographient de face, de profil et parfois de travers.
Il faut être bien faits, surtout face aux commentaires qu'ils se permettent.
Parce qu'on ressemble à des monstres selon eux, nous avons moins d'importance que les bas reliefs qui ornent le haut des portes de la cathédrale, que les rosaces, voir même que les gargouilles qui vomissent des quantités d'eau lors des temps de pluie.
Mais est-ce notre faute si Eugène nous a fait aussi laides ? Non ! Ça, c'est l'avis des badauds.
Pour ma part, je me trouve plutôt gracieuse face à ces bipèdes empotés.
Suis une stryge pas comme les autres. Et beaucoup envient mon emplacement privilégié.
De là où je suis, je domine, je guette, je sélectionne puis je traque. Ainsi vont mes journées.
Essayer de déterminer quelle sera la proie idéale. La plus juteuse, celle qui fera de cette nuit un régal.
Hé oui, car peu de gens le savent, mais lors de l'équinoxe d'automne, une antique magie nous permet de reprendre vie l'espace de quelques heures où tous les coups sont permis, pour peu qu'on ne se fasse pas trop remarquer.
Au début, ça m'a surpris. Je ne m'attendais pas à cela. Certe, je savais que mes yeux voyaient de jour comme de nuit, et que mes oreilles percevaient le moindre bruit, le moindre commentaire de ces humanoïdes. Et bien que cela me semble une bizarrerie puisque nous ne sommes fait que de roche ciselée, je m'y étais habituée. Mais retrouver l'usage de mes ailes et de mes griffes ; je ne m y attendais point.
Tout du moins la première fois ... ce qui remonte à la nuit du 22 septembre 1853.
Maintenant j'ai l'habitude et mon rituel est rodé. La journée, j'observe ces êtres patauds qui se perdent dans la ville, et je choisi celui que je torturerai la nuit tombée. Le choix est important. Il me faut quelqu'un de sain, tiré de cette engeance, et qui pourra me sustenter toute l'année.
Alors, j'ai jeté mon dévolu. Un jeune homme aux épaules robustes, une carrure imposante et dont le mépris pour Notre-Dame n'avait pas d'égal. Tout y est passé dans ses commentaires acérés. Pas que j'apprécie pour un sous ces petits anges trop sages ou cette architecture trop imposante, mais, c'est mon lieu de résidence, et j'y suis attachée au sens propre, comme au figuré. Alors qu'on se permette d'entièrement le dévaloriser, cela me met dans une colère folle.
Aussi après l'avoir guetté toute la journée, je me suis assurée qu'il était bien encore à ma portée lorsque la nuit fut tombée. J'avais éventuellement repéré d'autres proies au cas ou, mais, aucune qui ne me tenait plus à cœur que celui-ci. Coup de chance, cet être dévergondé voulait surement profiter pleinement de son séjour à la capitale. Lorsque mes ailes et mon buste furent libérés, je pu enfin m'envoler vers ce corps encanaillé. Il sillonnait les rues transversales après avoir livré bataille auprès d'une demoiselle peu respectable. Mal lui en prit de s'engager dans cette ruelle, où je pu livrer en toute discrétion mon méfait.
Il ne compris pas d'où l'attaque arrivât. J'imprimais mes serres dans ses épaules en poussant un cri si aigu qu'il en perdit immédiatement connaissance, et l'emmenais valser dans les airs avec moi. Nous voyageâmes ainsi jusqu' à la cathédrale d'Amiens.
De là, je pu constater que rien avait changé depuis ma dernière venue. Hormis 3 petites boules de roches qui semblaient se chamailler.
Je m'étais épris 5 ans plus tôt, au gré d'un de mes vols de nuit d'une chimère dont le corps ressemblait beaucoup à un félin ailé. Poussant notre amour un peu loin, j'avais l'année suivante mis bas à 3 adorables hybrides que je visitais dès que l'occasion m'était donnée. Ne pouvant pas les garder auprès de moi sur un site aussi célèbre et étudié que Notre-Dame, nous avions décidé, son père et moi de les élever à l’abri des regards dans un coin reculé de la cathédrale d'Amiens. Leur père veillant toujours sur eux, je me chargeais de leur apporter pitance dès que la magie me le permettait.
D'ordinaire, je me nourrissais du sang de quelques appétissants nouveaux nés, mais pour une famille, un adulte était de mise.
Nous prîmes alors un repas agréable, réunis tous les cinq autour de ce gaillard. Ces moments privilégiés passent toujours trop vite et je dû m'en aller, l'estomac plein, mais le cœur lourd bien avant d'en avoir assez profité.
Aussi maintenant je suis fatiguée, de ce vol et de l'éloignement des miens.
Je suis revenue de justesse de ma nuit effrénée et je n'ai pas eu le temps de souffler ni de réajuster ma position avant que les premiers rayons du soleil percent. Je venais à peine de retrouver mon emplacement, que mes traits commençaient à se figer. Ma tête lasse de cette sortie, reposait sur ma paume, pendant que je m'offrais un dernier regard nostalgique au-delà de cette ville endormie, vers mes êtres chéris ; avant d'être transis dans cette position.
Ma prestance en a pris un coup. Je ne pourrais me redresser que dans un an maintenant, lorsque la magie refera son office. Mais quelle belle nuit, et que de belles surprises de voir ces êtres grandir, rire et jouer. Tout recommencera dès que l'automne reparaîtra. D'ici là, il me faut trouver une nouvelle proie.
Maintenant, j'espère au fond de moi, que les touristes se désintéresseront du sommet de Notre-Dame. Sinon tout Paris sera en émoi, face à une chimère aux traits tirés qui ne suscite plus l'effroi.
Dernière édition par Cara1234 le Ven 23 Oct - 17:43, édité 2 fois (Raison : correction orthogrphique)
Cara1234- Kaléïd'habitué
- Humeur : Badine
Re: A. Chimère fatiguée
Comme tu es récemment inscrite sur kalé, tu ne sais peut-être pas que je suis une des plus fervente adepte du fantastique et de l'étrange C'est dire que j'ai aimé ton texte et l'idée originale de ctte styrge qui prend vie ,une fois l'an, pour se livrer à un peu ragoûtant repas de famille.
Nerwen- Modératrice
- Humeur : Légère
Re: A. Chimère fatiguée
Heureusement tu nous avais prévenu : ton texte est long, mais il se lit bien. Je suis scotchée !
Escandélia- Kaléïd'habitué
- Humeur : joyeuse
Re: A. Chimère fatiguée
scotchée
Je suis aussi une fervente lectrice de fantastique voire parfois de fantasy.
Je suis aussi une fervente lectrice de fantastique voire parfois de fantasy.
Cara1234- Kaléïd'habitué
- Humeur : Badine
Re: A. Chimère fatiguée
On voit que tu t'es fait plaisir en écrivant ce texte.
Peut être parce que je ne suis pas une fan du fantastique, j'ai trouvé ton texte un peu long.
Peut être parce que je ne suis pas une fan du fantastique, j'ai trouvé ton texte un peu long.
Invité- Invité
Re: A. Chimère fatiguée
Non c est surement parce que je ne savais pas quoi lui faire faire a cette gargouille et j ai brodée une famille et l enlèvement.
Du coup, ca doit se ressentir.
pour moi il n y a pas assez de sang ... mais pareil je ne savais pas comment decrire le carnage qu elle aurait pu faire.
Bref pas assez travaillé.
Mais j aime les critiques. Ca permet d avancer.
J en attendais plus.
Du coup, ca doit se ressentir.
pour moi il n y a pas assez de sang ... mais pareil je ne savais pas comment decrire le carnage qu elle aurait pu faire.
Bref pas assez travaillé.
Mais j aime les critiques. Ca permet d avancer.
J en attendais plus.
Cara1234- Kaléïd'habitué
- Humeur : Badine
Re: A. Chimère fatiguée
Brrrrr !!! Fait pas bon roder du côté de ces êtres bizarres aux pouvoirs malfaisants . Mais comme leur étrange pouvoir ne s'exerce qu'une fois l'an, on leur pardonne ...
Grâce à toi, j'ai découvert les stryges.
Quelle chance, à ma connaissance, elles ne prisent point ma contrée !
Grâce à toi, j'ai découvert les stryges.
Quelle chance, à ma connaissance, elles ne prisent point ma contrée !
catsoniou- Kaléïd'habitué
- Humeur : couci - couça
Re: A. Chimère fatiguée
J'attendais ton texte sur les chimères et je n'ai pas été déçu, bien au contraire. C'est gore, bien imaginé et bien écrit. J'ai beaucoup aimé.
virgul- Kaléïd'habitué
- Humeur : optimiste
Re: A. Chimère fatiguée
Comme dit hier au Chat, il y a de nombreuses fautes d'orthographe que tu peux aisément corriger avec un correcteur.
Je ne vais pas t'en faire la liste, le but n'est pas de te décourager car ton texte se distingue par sa particularité, qu'on le nomme " gore" ou "fantastique"
Tu as fait long, tente donc de faire long pour les 100 mots et plus court pour la consigne A.
Surtout ne perds pas courage, tout prend du temps..
Je ne vais pas t'en faire la liste, le but n'est pas de te décourager car ton texte se distingue par sa particularité, qu'on le nomme " gore" ou "fantastique"
Tu as fait long, tente donc de faire long pour les 100 mots et plus court pour la consigne A.
Surtout ne perds pas courage, tout prend du temps..
Amanda.- Modératrice
- Humeur : résolument drôle
Re: A. Chimère fatiguée
J'adore le fantastique et ton texte montre que tu as l'imagination nécessaire pour écrire dans ce genre. Par contre, je rejoins les avis d'Yvanne et d'Amanda : j'ai trouvé ce texte trop long et un peu trop bavard, ce qui dilue l'intérêt du lecteur. Plus resserré, en supprimant des détails inutiles, en concentrant l'action. il aurait été plus percutant.
Par rapport à la consigne: c'est plutôt un monologue qu'un dialogue, non ?
Par rapport à la consigne: c'est plutôt un monologue qu'un dialogue, non ?
tobermory- Kaléïd'habitué
- Humeur : Changeante
Re: A. Chimère fatiguée
Une belle dose d'imagination! J'aime beaucoup!!
Comme Tober je pense que cela vaudrait le coup de resserrer ton texte, d'enlever des détails superflus pour qu'il ait plus de force. Si tu le travailles en vrai dialogue, tu le resserras sans problème
En tout cas encore bravo !!
Comme Tober je pense que cela vaudrait le coup de resserrer ton texte, d'enlever des détails superflus pour qu'il ait plus de force. Si tu le travailles en vrai dialogue, tu le resserras sans problème
En tout cas encore bravo !!
Sherkane- Kaléïd'habitué
- Humeur : ....
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