Moi et Ferdinand
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Moi et Ferdinand
Encore heureux que pour nos retrouvailles je ne dois pas supporter la présence de mes futurs beaux parents .Le Baron et la Baronne partent tôt ce matin à la chaaasse dont c’est aujourd’hui l’ouverture et prévoient leur retour , tard ce soir après une grande réception où il n’est question que de gibiers( petits et gros) et de châââteaux qui prennent l’eau.
Hortense , leur gouvernante, est sensé surveiller l’héritier ! Ferdinand, mon amant, mon amour, mon fiancé. Les parents craignent en effet que celui çi, la montée des hormones étant ce qu’elle sont, ne succombe à mon charme de bourgeoise ( avec les conséquences que l’on sait) qu’ils n’apprécient pas .
Je ne suis pas bête , je sais que je ne suis pas de leur milieu et que c’est là, mon plus grand défaut .
Dès que j’ouvre le bec , ils s’interrogent sur mon origine terrestre .Et si je ris aux éclats, ce qui m’arrive souvent, ils écarquillent les yeux : pour eux ,rire est vulgaire et inconvenant dans un salon par contre à la cuisine …entre femme de ménage et garde champêtre, ca va, c’est normal entre ces gens là !
Mais mon Ferdinand m’aime comme un fou. Il n’en a rien à cirer de toutes ces conventions étriquées et désuètes. Sous la couette, dans la cabane près de l’étang au fin fond du domaine ou dans la paille à la ferme… Il n’y a pas de frontières sociales et il s’en passe des choses…
Nous voilà donc tous les deux assis à table avec Hortense qui nous sert un thé . Elle s’ennuie à mourir à devoir jouer la chaperonne. Elle n’a rien à dire, rien à lire , rien à faire si ce n’est à nous surveiller alors qu’elle brûle du désir de regarder son feuilleton à la télé « les feux de l’amour ».
Ferdinand décide alors de prendre les choses en mains en proposant à Hortense un marché de liberté pour les trois concernés : à savoir, elle est libérée de son devoir d’espionne l’empêchant de visionner son feuilleton préféré et nous, en conséquence, sommes libérés de sa surveillance nous empêchant de faire et d’aller où bon nous semble. Voilà c’est conclu avec le secret à l’appui promis et juré de part et d’autre par rapport au baron et la baronne !
Hortense ne se le fait pas dire deux fois , elle est aux anges, elle se précipite dans les feux de l’amour tandis que moi , d’un bond je saute , vole dans les bras de mon Ferdinand pour prendre d’assaut la cabane ou la ferme… au fin fond du domaine ……… là où il s’en passe des choses …..
Hortense , leur gouvernante, est sensé surveiller l’héritier ! Ferdinand, mon amant, mon amour, mon fiancé. Les parents craignent en effet que celui çi, la montée des hormones étant ce qu’elle sont, ne succombe à mon charme de bourgeoise ( avec les conséquences que l’on sait) qu’ils n’apprécient pas .
Je ne suis pas bête , je sais que je ne suis pas de leur milieu et que c’est là, mon plus grand défaut .
Dès que j’ouvre le bec , ils s’interrogent sur mon origine terrestre .Et si je ris aux éclats, ce qui m’arrive souvent, ils écarquillent les yeux : pour eux ,rire est vulgaire et inconvenant dans un salon par contre à la cuisine …entre femme de ménage et garde champêtre, ca va, c’est normal entre ces gens là !
Mais mon Ferdinand m’aime comme un fou. Il n’en a rien à cirer de toutes ces conventions étriquées et désuètes. Sous la couette, dans la cabane près de l’étang au fin fond du domaine ou dans la paille à la ferme… Il n’y a pas de frontières sociales et il s’en passe des choses…
Nous voilà donc tous les deux assis à table avec Hortense qui nous sert un thé . Elle s’ennuie à mourir à devoir jouer la chaperonne. Elle n’a rien à dire, rien à lire , rien à faire si ce n’est à nous surveiller alors qu’elle brûle du désir de regarder son feuilleton à la télé « les feux de l’amour ».
Ferdinand décide alors de prendre les choses en mains en proposant à Hortense un marché de liberté pour les trois concernés : à savoir, elle est libérée de son devoir d’espionne l’empêchant de visionner son feuilleton préféré et nous, en conséquence, sommes libérés de sa surveillance nous empêchant de faire et d’aller où bon nous semble. Voilà c’est conclu avec le secret à l’appui promis et juré de part et d’autre par rapport au baron et la baronne !
Hortense ne se le fait pas dire deux fois , elle est aux anges, elle se précipite dans les feux de l’amour tandis que moi , d’un bond je saute , vole dans les bras de mon Ferdinand pour prendre d’assaut la cabane ou la ferme… au fin fond du domaine ……… là où il s’en passe des choses …..
Charlotte- Kaléïd'habitué
- Humeur : joyeuse
Re: Moi et Ferdinand
Charlotte, je crois que tu as été un peu vite pour poster ton texte car :
Tu as oublié de mettre le A.dans le titre :Moi et Ferdinand.
Ce qui fait que ton texte se retrouve tout en bas et que personne ne le voit.
Il te suffit de l'éditer de taper le A. devant ton titre et il remontera.
Ne te bile pas, cela m'est arrivé aussi !
Par contre, je me dois, en tant que modo de relever des fôtes et celles-là aussi tu peux corriger.
Donc par ex. " Hortense est senséE surveiller..." " la montée des hormones étant ce qu'elle EST"
Phrases trop longues comme :
Les parents craignent en effet que celui çi, la montée des hormones étant ce qu’elle sont, ne succombe à mon charme de bourgeoise ( avec les conséquences que l’on sait) qu’ils n’apprécient pas
Et les tirets, tu les omets volontairement ?
Bref, copie à revoir pour ce texte.
Tu peux mieux, je le sais !
Sinon, c'est bien vu !
Tu as oublié de mettre le A.dans le titre :Moi et Ferdinand.
Ce qui fait que ton texte se retrouve tout en bas et que personne ne le voit.
Il te suffit de l'éditer de taper le A. devant ton titre et il remontera.
Ne te bile pas, cela m'est arrivé aussi !
Par contre, je me dois, en tant que modo de relever des fôtes et celles-là aussi tu peux corriger.
Donc par ex. " Hortense est senséE surveiller..." " la montée des hormones étant ce qu'elle EST"
Phrases trop longues comme :
Les parents craignent en effet que celui çi, la montée des hormones étant ce qu’elle sont, ne succombe à mon charme de bourgeoise ( avec les conséquences que l’on sait) qu’ils n’apprécient pas
Et les tirets, tu les omets volontairement ?
Bref, copie à revoir pour ce texte.
Tu peux mieux, je le sais !
Sinon, c'est bien vu !
Amanda.- Modératrice
- Humeur : résolument drôle
Re: Moi et Ferdinand
Le texte de Charlotte est en double Amanda, recopie ton commentaire (si tu le souhaites) au dessous de l'autre texte et j'effacerai celui-ci!
Admin- Admin
- Humeur : Concentrée
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