Esquisse

J'aime beaucoup, beaucoup, ta poésie Amanda.

Il y a juste un truc qui me gêne, c'est  le dernier vers, je ne le trouve pas à la hauteur du reste, moins poétique.
Pourquoi pas:
Apaisée, à présent

Moi aussi, j'aime beaucoup, Amanda

Ton poème me fait penser à celui de Prévert, celui du portrait et de l'oiseau

On en ressort tout apaisé, justement, et cela fait du bien !

voilà un poème bien cadré, avec ses répétitions qui le rythment...

Ce n'est pas le dernier vers qui me gène, mais celui-ci
"mon crayon a allégé...
les voyelles s'entrechoquent... relis le tout haut!

Merci pour vos conseils toutes, je vais corriger

On voit ici que le dessin est à la base de l'inspiration, le crayon jouant le rôle moteur, alors que par exemple une kaléïdoplumienne part de ce dessin pour aller à la cause des femmes opprimées et un autre rapproche le dessin de  la  réalité d'une bâtisse  en ruines dans laquelle la nature reprend le dessus , arbres et oiseaux. Mais peut-être, cette façon de voir est plus perceptible quand on habite la campagne sillonnée dans moultes randonnées  , en des lieux désertés par l'homme...

Très joli poème dans lequel dessin et réalité se mêlent, avec l'oiseau qui vient se poser sur la branche dessinée. La nouvelle version du dernier vers est très réussie. Son allitération lui donne une belle sonorité.

Je lis en ayant l'image dans la tête, j'aime beaucoup, particulièrement ce passage

Un mur j’ai dessiné
Entre deux fleurs
Mon crayon s’est calmé
Un oiseau s’est posé
Sans peur, en douceur…

L'impression de facilité que donne ce poème est en relation avec le déroulé de l'image qui l'a inspiré. Tout se déroule et tout s'enchaine parfaitement. Seul le dernier ver m'a un peu dérouté, mais comme quelque chose en suspend, comme sur l'image elle même.