B- Madeleinedeproust on dirait ... pffh...

On dirait que tu serais le voleur et moi le gendarme...
On dirait enfantin, plein de rêves, ouvert sur tous les possibles.

On dirait qu'il ne comprend rien, il faut le faire tester.
Mais on n'a pas à disposition le matériel pour le test, mais on n'a pas la personne, mais ….
On dirait qu'on écouterait les gens au contact de la réalité, on dirait qu'on leur donnerait les moyens d'aider ceux dont ils ont charge...
On dirait adulte, plein de désillusion, ouvert à tous les refus.

On dirait que ce serait un cauchemar et qu' au réveil on aurait enfin une petite lueur au bout du tunnel pour nous donner la force de continuer.

115 mots.

Je comprends ta colère, ta révolte devant ce qui devrait se faire et ne se fait pas !
Il y a de quoi s'arracher les cheveux, mais ne perds pas courage, à ton échelle tu accomplis déjà de belles choses !

On dirait qu'on espère tous avec toi qu'enfin, les choses changent et qu'on ait les moyens de vraiment aider ces enfants!

... on dirait que qui va très bien avec les yaka faukon !!!

Je comprends ta révolte et ton inconfort.
Je comprends que tu aurais envie de donner plus, de faire plus pour faire mieux.
Je comprends ta difficulté face à ce manque de moyens et de bienveillance.
Cela demande du courage, de l'amour aujourd'hui pour pouvoir continuer à donner à tous ces enfants et de tenir le coup dans ce monde terrible de l'EN.
C'est un beau métier que tu fais, malgré sa rudesse au quotidien. Ce métier est beau dès lors qu'on aperçoit dans le coeur de l'enseignant tout ce qui voudrait pour ces petits.
Courage à toi !

Ma fille partage souvent les mêmes désillusions, je pense qu'elle trouve sa force dans sa vocation. Et c'est admirable.

Merci à tous!