A. Ni tout à fait la même, pas tout à fait...

J’ai en tête l’image d’une femme de prisonnier qui voit son homme rentrer au bercail…

J'ai lu et commenté ton marathon et il prouve à l'envi  qu'on peut surmonter les difficultés, en particulier, liées à la santé.
Les kaléïdoplumiens disposent d'un atout supplémentaire : l'écriture. Ce que semble-t-il, tu as bien intégré  en envisageant un 3ème tome des Chroniques de la Guarrigue.
De quoi  faire revenir le    et les  

Si je peux me permettre, je voudrais extrapoler avec la phrase en citation.

L'année de ma naissance, juste après-guerre, il y  eut dans la commune une dizaine de naissances contre deux, trois  au cours des années précédentes : c'est ainsi qu'a été marqué le retour des prisonniers qui avaient "bénéficié" d'un séjour de cinq ans en Allemagne .

Quelle belle leçon de vie, Amanda!
Quelle bonne idée de continuer l'histoire de la Garrigue!

ton marathon était à ton image, vrai, émotif et touchant. tu es une belle personne, manda.

Ton témoignage fait écho à ma mémoire. Après une longue séparation, c'est vrai que le retour, même s'il était très attendu, n'est pas si facile. Comme tu le dis, il faut réapprendre à vivre ensemble, savoir ne plus prendre toute la place et tout gérer et laisser la place à l'autre qui n'est plus tout à fait le même, ni tout à fait un autre...

Au-dessus des nuages brille toujours le soleil ... Même en Belgique !

Je rejoins Pati, tu as fait un marathon à ton image, et c'est très chouette!

Tu as surmonte cette nouvelle épreuve de Bien belle facon: en restant positive de bout en bout. Tu as toute mon admiration .
Et nous allons bientôt avoir le plaisir de lire la suite de Panique à la Garrigue

Une belle leçon de vie en effet, surtout que tu as dû "en baver". Bravo pour ta réaction. Par contre ... mon petit doigt me dit que tu ne pourras pas tenir ta décision de ne plus râler!